Catégorie : Stage

Stage de terrain – Forêts de montagne UBAYE (04) – Du 15 au 18 juillet 2025

Les activités de terrain de ce stage avaient pour objectif de comprendre l’apport de la recherche dans l’étude de la coévolution des sociétés humaines avec la forêt (notion de socio-écosystème forestier).

Pour cela il a été proposé d’étudier les modifications du paysage sur une échelle de temps plurimillénaire, notamment via le peuplement forestier. Il a aussi été étudié les variations des cernes de croissance des arbres, les stratégies de régénération, et le rôle des humus.

En complément, il a été proposé en soirée des échanges entre chercheurs, enseignants et grand public grâce à des conférences débats sur les enjeux du réchauffement climatique impactant les forêts de montagne.

Aix-Marseille Université soutient plusieurs projets de culture scientifique, comme le projet ForêtVerTE
(Formation, approche sciences-société, biodiversité et transition écologique, forêts de montagne).

ForêtVerTE est un projet pluridisciplinaire d’animation scientifique et culturelle autour du thème des forêts et des paysages de montagne, qui associe un apprentissage à la démarche scientifique, à destination des enseignants de SVT (APBG) par la participation à la construction de données scientifiques sur le terrain, et à des animations grand public (conférences, sorties et ateliers pédagogiques en partenariat avec des acteurs locaux). Aix Marseille Université a pris en charge l’intervention scientifique par le financement du projet de culture scientifique ForêtVerTE. Organisation IMBE Brigitte Talon et APBG Armand Audinos

Scientifiques et acteurs locaux impliqués:

Brigitte TALON (IMBE) – Philippe CHOLER (LECA) – Frédéric GUIBAL (IMBE) – Jerôme POULENARD (EDYTEM) ainsi que tous leurs brillants étudiants.

Mais aussi Lorène LOMBARD de la Maison du Bois et de la Forêt à Méolans-Revel.



Voici un résumé des échanges de ce stage (merci à Delphine GIRAUD pour l’immense travail de compilation des prises de notes, de recherche, de croisement des sources et de mise en page…!) . Les titres reprennent les grands thèmes abordés. Bonne lecture…!


  • Il y a -305 MA les formations carbonifères nous indiquent le début des grandes forêts.

  • Au jurassique inférieur il y a -183 MA les formations observées localement sont des terres noires nommées « robines » littéralement « paysages érodés ». Ce sont des vallons raides de marnes très ravinées par les eaux de ruissellement.
    • On trouve parfois dans les robines des bois « flottés », des araucarias, signe de conditions de conservation rares et optimales de la matière. Le fond de l’eau anoxique, conserve le bois.
    • Il est à noter que les roches des robines sont foncées car elles contiennent beaucoup de cristaux de pyrite ; les bactéries anaérobies lors de la formation du sédiment vont transformer la matière organique en pyrite. Actuellement le fer de cette pyrite rouille donnant un aspect foncé à ces roches.

  • Datant du tardiglaciaire ou du début de l’Holocène, il est parfois retrouvé dans la région de Barcelonnette des troncs subfossiles. Ce sont des pins piégés dans du remblaiement sédimentaire de fond de vallon. Pour cela il faut un enfouissement rapide dans des dépôts de crues ou de torrents. Lors du surcreusement des torrents actuels, dans les fonds et les berges, il est possible de retrouver des troncs subfossiles en position de vie, parfois avec leur écorce. Il est important de les préserver, car grâce à leurs cernes ils permettent à la fois, d’être des sources de données pour l’histoire du climat, mais aussi de mesurer le radiocarbone à des dates connues, afin de calibrer les résultats de datation. (Source complémentaire : Cécile MIRAMONT)

  • Myette GUIOMAR était encore très récemment géologue et chargée de missions scientifiques pour la gestion de la Réserve Naturelle Géologique de Haute-Provence au Conseil Départemental, service de l’Environnement.

  • Ci-dessous 2 publications des années 2000 de Cécile MIRAMONT, Maître de Conférences à Aix-Marseille Université (IMBE). Géographe, géomorphologue et dendrochronologue, elle étudie les environnements du passé et les interactions entre climat et sociétés dans les paysages méditerranéens et alpins. Elle travaille sur des arbres subfossiles et les dépôts sédimentaires alluviaux et lacustres pour mieux comprendre les réponses des écosystèmes montagnards aux changements climatiques.


Au 19e siècle l’exploitation des forêts est maximale, les campagnes sont peuplées et il y a besoin de nombreux pâturages. Les déboisements sont massifs et en conséquence les glissements de terrains et les crues sont catastrophiques.

« Pour lutter contre ces phénomènes naturels, l’Administration des Eaux et Forêts a créé en 1861 le service de reboisement des montagnes, devenant plus tard le service de Restauration des Terrains en Montagne (RTM). A l’époque, sa mission consiste à reboiser les terrains dégradés et à aménager des dispositifs de protection des populations contre les risques naturels qui combinent des techniques de génie civil et génie écologique. »

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Ci-dessous une thèse visant à améliorer la connaissance scientifique des processus torrentiels et proposant de nouvelles pistes de recherche pour le développement de futurs modèles.

Exemple de l’aménagement du Riou Bourdoux au nord-ouest de Barcelonnette.

C’est une robine très vaste et raide qui canalise de nombreuses laves torrentielles dévastatrices au 19e siècle car le sol est totalement nu. Des travaux sont effectués de 1874 à 1897 : reboisement intensif du vallon et correction du canal d’écoulement.

Le lit du torrent est surélevé en paliers pour stocker au fur et à mesure de leur arrivée les matériaux, tout en retardant leur descente. Les écoulements sont aussi recentrés. La pente est diminuée.

Ci-dessous 4 documents, une archive photo de 1892 issue du site de l’INRAE, un livre un peu ancien dédié à ce lieu emblématique, une publication reprenant des données plus récentes des années 2000 et en complément, une publication reprenant l’évolution des surfaces boisées en France depuis le début du 19e siècle

Encore en 2025, l’ONF assure la gestion des forêts domaniales et de leurs ouvrages de protection. Il est aussi chargé de la prévention des risques naturels (seuils de correction torrentielle, dispositifs contre les chutes de blocs, dispositifs paravalanches…).

Dans ce cadre là des plantations sont faites régulièrement avec des protocoles stricts qui permettent de choisir les essences appropriées tout en favorisant la biodiversité et l’adaptation au changement climatique.



Mélèzes et Pins cembro (Pin arolle) poussent ensemble, ce sont deux arbres complémentaires. Après la déforestation massive entre le moyen âge et le 19e siècle les arbres qui ont recolonisé les versants sont uniquement des Mélèzes.

Les graines des Mélèzes se disséminent par le vent alors que le Pin cembro a besoin d’un oiseau, le Casse-noix moucheté pour disséminer ses graines.

Avec le Mélèze, la déforestation a aussi fait disparaître le Pin cembro mais également l’oiseau se nourrissant de ses graines et permettant les semis.

Le Mélèze présent dans les vallées adjacentes a pu se resemer seul et recoloniser les vallées. Le Pin cembro dépendant du Casse-noix n’a pas pu se resemer seul. Ainsi les forêts d’Ubaye sont actuellement essentiellement composées de Mélèzes.


  • La limite climatique de la forme de Vie Arbre est de 6.4°C en été. Or avec le réchauffement climatique est-ce que les arbres remontent en altitude? Il a été observé durant les 40 dernières années qu’il y a 2 fois plus d’arbres et que leur présence est remontée de 100m en altitude. Afin de reconstituer la trajectoire de cette remontée il a été réalisé des carottes d’arbres à plusieurs altitudes.

  • Observation du terrain: Les arbres ont tous le même âge, de 2 300 m à 2 700 m tous les arbres ont colonisé les vallons dans les années 1995 à 2000.

  • Plusieurs hypothèses ont été émises. Est-ce dû à des facteurs anthropiques, tels que des changements de pratiques agricoles ou une variation dans la quantité de moutons dans les vallons? Est-ce dû à des facteurs climatiques davantage favorables au Mélèze?
    • Il y a eu une diminution de la population humaine jusque dans les années 1950 et depuis la démographie est stable. Pas de changements des pratiques agricoles ni du nombre de moutons. Concernant le climat, il y a eu davantage d’épisodes de douceurs et moins d’épisodes de froid. La neige fond plus précocement depuis les années 1995 à 2000. Le climat est de plus en plus favorable. Il y a déjà des jeunes individus jusqu’à 2 700 m, la limite de Vie remonte.
    • Le Lagopède est une espèce qui aime les milieux ouverts, la forêt vient dorénavant empiéter sur son milieu de Vie.

  • L’étage subalpin a été déforesté pour favoriser l’agriculture. Entre l’exode rural du 19e siècle et la révolution industrielle utilisant les énergies fossiles, la pression sur les arbres a diminué, ils ont donc tendance à recoloniser les milieux d’altitude, aidés par le réchauffement climatique.

  • Ci-dessous deux articles de janvier 2025 d’Arthur BAYLE et de Baptiste NICOUD notamment. Le premier sur la végétalisation alpine décryptée par la dynamique des peuplements et des structures forestières dans les limites forestières avancées des Alpes européennes du sud-ouest. En anglais. Le deuxième, c’est le climat et non l’utilisation des terres, qui est à l’origine de l’accélération récente de l’expansion du mélèze dans l’écotone (zone de transition entre deux écosystèmes) forêt-prairie des Alpes du Sud de la France. En anglais aussi.
    • Arthur BAYLE a soutenu sa thèse au LECA en 2024. Il s’est spécialisé dans l’étude de la réponse de la végétation sous l’angle de la télédétection optique par satellite avec l’utilisation de la constellation Landsat.
    • Ses recherches portent sur l’étude de la réponse des écosystèmes froids, des régions alpines à l’Arctique, aux changements climatiques et l’utilisation des terres par l’Homme sur une échelle de temps allant des dernières décennies à l’ère industrielle.
    • Il est en juillet 2025 Chercheur postdoctoral à l’Université de Genève (UNIGE) au Laboratoire Impacts et risques du changement climatique à l’ère de l’anthropocène (C-CIA) du Département des Sciences de la Terre.


Les datations des charbons de bois dans ce site ont montré qu’à l’âge du Bronze (Néolithique) il y avait des arbres jusqu’aux sommets à 2 700 m.

Les hauts sommets qui forment des falaises sur le pourtour sud-est de ce vallon sont constitués des grès d’Annot. Les sommets plus doux au sud sont constitués de schistes. Les pentes raides sont des éboulis actifs. C’est un ancien cirque glaciaire avec des dépôts morainiques, des glaciers rocheux et quelques dépôts marneux. La Baisse de la Plate est constituée de calcaires dolomitiques.

On observe des Mélèzes de plus en plus petits lorsque l’altitude augmente. Cependant tous les arbres ont le même âge de 25 à 30 ans. Leur taille dépend plutôt de la température de développement, plus on est haut en altitude plus il est difficile de s’y développer.

Le Mélèze préfère s’installer sur des sols instables comme les éboulis, avec un sol atteignable. Il est moins présent dans les parties marneuses avec pelouse à Nard raide.

L’étude des sédiments du Lac de la Braissette sont de véritables archives de l’histoire locale, que l’EDYTEM essaye de reconstruire.

Sur ces crêtes la pelouse alpine était présente mais l’érosion a fait partir une partie du sol ne laissant que les touradons (touffes d’herbe avec du sol nu autour). Les quelques plantes pionnières qui poussent entre les touradons sont fragiles et sont entrainées par les eaux de ruissellement, laissant le sol nu. Les produits de l’érosion issus de ces hauteurs s’accumulent dans le Lac de la Braissette juste en dessous. L’érosion est accentuée par la présence humaine (pâturage des moutons).

Donc lorsque les crêtes sont enherbées, le lac reçoit peu de sédiments, lorsque les crêtes sont érodées, le lac reçoit beaucoup de sédiments.

Datation de la matière organique des touradons : 400 ans.

Dépôt de 1cm de sol tous les 40 ans !

Il y a eu fin août 2024 une campagne de carottage dans le lac sud de la Braissette à 2501m d’altitude.

Ils ont été faits au moyen d’une petite plate-forme portative de carottage, dans le but de collecter les sédiments lacustres et de pouvoir les analyser notamment en y quantifiant les isotopes du lithium.

Cela va permettre aux chercheurs de reconstruire l’histoire de l’érosion culminale dans les écosystèmes à enneigement saisonnier depuis 10 000 ans.

Publication à venir d’ici la fin d’année 2025.

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Ci-dessous 2 articles complémentaires de l’EDYTEM (en anglais) sur l’érosion des milieux alpins provoquée par les activités humaines depuis le néolithique. Travaux sur les sédiments lacustres du Lac du Bourget.

Vidéo expliquant le travail des chercheurs du Laboratoire EDYTEM de l’Université Savoie Mont Blanc sur les lacs sentinelles en 2015. (7’25)


Ci-dessous 2 articles fondamentaux, un expliquant la méthode et les applications possibles au climat et un deuxième expliquant le lien entre le Mélèze et la tordeuse qui influence la croissance de l’arbre.

Explications du principe de la dendrochronologie.

https://www.youtube.com/watch?v=njR8dxapw_o
Vidéo de la technique de prélèvement d’une carotte avec une tarière de Pressler. (9’12)

Espèces dans lesquelles il est possible de faire des carottes aisément: les résineux en général, Hêtre, châtaignier, Orme, Robinier faux acacia, Frêne, Tilleul, Noyer, arbres fruitiers, Aulne, Chêne caducifolié…

Espèces à éviter: Chêne vert trop dur, Saules et Peupliers trop dépendants de l’eau, Cyprès et Genévriers sont complexes à étudier.

Se renseigner sur la législation locale (forêt domaniale, privée, communale…) et demander des autorisations avant d’effectuer des prélèvements .

Préparer la carotte pour la mise en évidence et l’observation des cernes : aplatissement petit à petit au cutter de la carotte (lame à plat avec maintient de la carotte sous un morceau de bois afin de protéger les doigts !) afin d’obtenir une surface plate dans la longueur de la carotte (avoir une lame bien affutée et éviter de casser la carotte).

Il est ensuite possible de laisser sécher la carotte 3 semaines, de la coller avec de la colle à bois dans une ondulation de carton et une fois fixée, de poncer le plus finement possible la surface obtenue précédemment au cutter. Placer à côté du papier millimétré.

Sous une loupe pour être précis, reporter au crayon fin chaque fin de cerne foncé et noter les années de croissance.
1er cerne foncé extérieur = année en cours.

Avec une règle de précision sous le millimètre (par exemple pied à coulisse digital) et toujours sous la loupe, pour chaque année, mesurer sur la carotte la largeur du cerne de la partie la plus foncée année n-1, à la partie la plus foncée année n.

Faux cernes : Dans les milieux d’altitude ils sont rares. C’est à plus basse altitude que les faux cernes se rencontrent, notamment sous climat méditerranéen et peuvent abonder dans la famille des Cupressacées.

Pour exploiter ce document il doit être mis en parallèle avec des données climatiques locales, avec la courbe de référence du Mélèze, avec d’autres courbes d’autres individus, avec les cycles d’attaque de la tordeuse… (se référer aux informations théoriques apportées ci-dessus)

Le site internet « Infoclimat » collecte et propose l’accès aux données météorologiques mondiales issues de plus de 700 stations émettant en temps réel, au profit de la compréhension du changement climatique. Ces stations météorologiques semi-professionnelles mesurent les températures, les précipitations, le vent, et parfois depuis plusieurs décennies.

L’association loi 1901 « Infoclimat » existe depuis 2003. Infoclimat est membre des commissions Observation et Éducation/Formation du Conseil Supérieur de la Météorologie, regroupant tous les acteurs de la météo et du climat en France.

L’association installe ses propres stations pour compléter les réseaux existants, réalise des actions pédagogiques vis-à-vis du grand public et des jeunes (notamment par le réseau Météo À l’École, développé avec Sciences à l’École), propose des outils d’analyse climatologique ainsi que des fonctionnalités de science participative.


Sabença de la Valéia (Connaissance de la Vallée) est une association dont l’objectif est de connaître et faire connaître le patrimoine culturel et naturel de la vallée de l’Ubaye.

Excellente revue de 2018 sur les glaciers rocheux caractéristiques de l’Ubaye, fruit de la collaboration entre scientifiques, RTM (Restauration des Terrains de Montagne) et l’association. A découvrir pour retrouver et expliquer les paysages observés en randonnée: glacier de la Blanche, glacier de la Pointe de Chauvet, glaciers de Marinet, glaciers rocheux du Chevalier, de Chambeyron, de l’Infernet, du Loup, du Trou de l’Aigle, du plateau de Tuissier, de Marinet, du Bérard, les glaciers rocheux inactifs de l’Oronaye.
Vous retrouverez leur histoire depuis le tardiglaciaire il y a 15 000 ans, et bien sûr leur évolution récente.


Tous les documents mis en valeur sur cette page sont soit des publications en accès libre, soit des photos dont la source est mentionnée, soit des liens vers des sites internet d’intérêt. Chaque texte est un résumé des informations scientifiques apportées sur place, étayées et enrichies par les publications proposées à la consultation.

Pour partager aux adhérents une activité dendrochronologie à faire en classe ou retrouver davantage d’informations proposées par les scientifiques, d’autres documents sont disponibles en téléchargement sur l’ENT de l’APBG Grenoble. Nous consulter si besoin.

Delphine GIRAUD

coniferous-tree

Stage de terrain – Volcanisme en ARDECHE – Du 27 au 30 avril 2025

Durant 3 jours, il a été proposé un stage de terrain pour étudier le volcanisme ardéchois.

Jaujac (Photo D. Giraud)

Accompagné/guidé par Dr. Thibaud SIMON-LABRIC ;     géologue, géomorphologue et accompagnateur en montagne avec le Centre de Géologie de l’Oisans (CGO) ;   Chercheur invité UGA. 

J1/ Découverte des volcans récents du bas-vivarais  âgés d’environ 40 000ans, presque contemporain de l’occupation de la grotte Chauvet : la coulée prismée de  Jaujac, le volcan du Souilhol, Coulées basaltiques et Pont du Diable de  Thueyts, volcan et brèche de  Montepezat-sous-Bauzon. Conférence randonnée.

J2/ Parcours découverte en direction des terrains volcaniques d’âge Miocène du Pays du Mezenc avec l’ascension du Mont-Gerbier,  Grosse et Petite Dents du Pays du MezencCirques des Boutières et de Chaudeyrolles,  coulée du  Ray-Pic. Conférence randonnée.

J3/ Départ vers le Massif volcanique du(des) Coiron(s) (manifestations basaltiques âgées de 8Ma, faisant un plateau d’altitude de 400-1000m en forme de feuille de chêne de 20x15km, suite à une inversion de relief), Ucel et les empreintes de dinosaures, Mirabel et la paléo-ardèche et le Neck de Sceautres .  Conférence randonnée.

Extrait de la carte géologique du GEOPARC UNESCO des Monts d’Ardèche avec les sites visités (Montage V. Pellet)

Quelques photos du stage:

Photos J.C Bourgueil-D.Giraud

Pour découvrir :
https://www.persee.fr/doc/rga_0035-1121_1924_num_12_2_4886;
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sceautres;
https://fr.wikipedia.org/wiki/Balmes_de_Montbrun;
https://fr.wikipedia.org/wiki/Montpezat-sous-Bauzon ;
https://sourcesvolcans.com/volcanisme ;
https://fr.wikipedia.org/wiki/Chaudeyrolles.

Pour prolonger :
[attention, suite à une attaque informatique cet été 2025, le site universitaire du mnhn (https://www.inpn.mnhn.fr) n’est actuellement pas disponible]
https://inpn.mnhn.fr/site/inpg/RHA0063/tab/descGeologique;
https://inpn.mnhn.fr/zone/znieff/820030911/tab/commentaires;
https://inpn.mnhn.fr/site/inpg/RHA0038/tab/descGeologique ;


https://www.saga-geol.fr/Documents/Saga_299_Excursion_Coirons.pdf ;

https://www.saga-geol.fr/Documents/Saga_371_strato_volcan_Boutieres.pdf;
https://www.saga-geol.fr/Documents/Saga_373_strato_volcan_Boutieres.pdf ;
https://www.saga-geol.fr/Documents/Saga_321_Nature_roches_volcaniques.pdf ;
https://geol-43.asso-web.com/uploaded/z50-39-62-mezenc.pdf;
https://www.mezencexceptionnel.fr/wp-content/uploads/2015/06/APPEM-article-geologie-et-volcanisme-octobre-2015-1.pdf.

Représentation des volcans dans la grotte Chauvet:
(publication) https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0146621;
(commentaires / INSU): https://traces.univ-tlse2.fr/accueil/des-representations-deruptions-volcaniques-anciennes-de-36-000-ans-dans-la-grotte-chauvet-pont-darc;
(
presse): https://www.lemonde.fr/sciences/article/2016/01/08/des-dessins-d-eruptions-volcaniques-dans-la-grotte-chauvet_4844258_1650684.html,
https://www.hominides.com/html/actualites/volcan-chauvet-art-parietal-0997.php ,
https://www.le-pays.fr/roanne-42300/actualites/un-roannais-decode-la-grotte-chauvet_11736408/
.

Présence de galets sous les coulées à MIRABEL et ferme troglodyte:
https://planet-terre.ens-lyon.fr/ressource/Img766-2022-12-12.xml;
(photos au dessus de la « grotte du Baumier ») https://balades26-07.blogspot.com/2014/12/mirabel-balade-au-long-de-la-coulee.html;
(ballade / asso. St Remeze passée le 27 avril…) https://www.patrimoinestremeze.org/samedi-26-avril-mirabel-sur-le-rebord-du-plateau-basaltique-du-coiron/.

Localisation des arrêts:

Calendrier de l’année scolaire 2021-2022

1/ Juin:

Le samedi 18 juin, rendez-vous était à La Mure pour une escapade avec le petit train de La Mure.
C’était l’occasion  de se retrouver entre nous pour une journée paysages soleil et découverte !!

Au programme : 

– Rendez-vous le matin vers 9h30 à la gare à La Mure (plateau de la Matheysine, observation du synclinorium du Dévoluy) pour un trajet de 45min. avec le petit train, tout juste ré-ouvert depuis sa rénovation !
– une petite promenade et panorama sur le Trièves, les contreforts orientaux du Vercors, et pique-nique !
– en début d’après-midi retour et visite guidée (2h) du Musée de la Mine Image.
– De retour à La Mure en fin d’après-midi, avec une exploration d’affleurements houillers accessibles dénichés par Roland Carle (petit transfert en covoiturage nécessaire).

En famille !  Les enfants sont inscrits gratuitement à l’APBG et les tarifs réduits, il nous suffit d’avoir leur nom-prénom et âge lors de l’inscription. Les conjoint.es sont aussi les bienvenu.es mais doivent être adhérent.es : l’adhésion gratuite est offerte exceptionnellement pour cette sortie.

L’inscription se faisait avant le  10 mai pour permettre la réservation dans les meilleures conditions au tarif de groupe.
Le tarif de groupe est de 25€  AR en train + musée (au moins 20 personnes ; au lieu de 29€50 en individuel).
Le tarif pour les enfants de moins de 16 ans est de 16€50 et gratuit pour les moins de 4ans.

Inscription auprès de Delphine Giraud à l’adresse suivante : delphine.giraud@ac-grenoble.fr ; avec précision les noms des participants (conjoint, enfants avec leur âge  si vous venez en famille)


2/ août 2022

stage d’écologie alpine  (3 jours)
pour les adhérents APBG Grenoble et PACA

du lundi 22 août 2022 18h au jeudi 25 août 2022 18h

ECOLOGIE ALPINE AUX JARDINS DU LAUTARET

https://www.jardindulautaret.com/

 Stage de terrain

 il s’agit d’une session qui sera encadrée scientifiquement par Philippe CHOLER, Directeur de recherche CNRS au Laboratoire d’Ecologie Alpine de l’ Université Grenoble Alpes
et co-encadré par

Jérôme Poulenard, Professeur des Universités, Univ. Savoie Mont Blanc, CNRS, EDYTEM

Brigitte Talon, Maitre de Conférences HDR, Aix Marseille Université, CNRS, IMBE

Il s’agit d’un stage « en situation » au cours duquel s’entremêleront des activités pratiques (terrain – labo – analyse de données) 

et des temps de séminaire-débat. 

Le thème général porte sur l’écologie des écosystèmes de montagne

Nous aborderons les questions de trajectoire et de résilience de ces écosystèmes sur le temps long (Holocène)

et sur la période récente (depuis la sortie du Petit Age Glaciaire). 

Nous mettrons l’accent sur les relations climat-sol-biodiversités-usages du sol à travers une vision intégrée (holistique)

du fonctionnement et de la dynamique des écosystèmes.

La partie pratique combinera des observations de terrain, des prélèvements d’échantillons pour analyse 

au laboratoire, des analyses de données simples sur le climat et le bioclimat, des traitements d’images. 

Une large partie des activités pratiques sera réalisée en semi-autonomie par des groupes de 3 à 4 participants. 

Les activités proposées s’inscrivent dans des programmes de recherche et d’observation menés au Lautaret depuis de nombreuses années.contact :

jmberthier@gmail.com



infos pratiques :

pour débuter la tête dans les étoiles, rendez-vous le lundi 22 août à 17h00 à la salle de conférence de la galerie de l’Alpe pour commencer avec une conférence tous public sur :

Le télescope spatial James Webb (par Romane  Le Gal, institut de planétologie et d’astrophysique de Grenoble)

lieu du stage : 45.036123862523084, 6.400290046196709

Pour simplifier les choses, apporter vos affaires pour les repas, à savoir :

Une gourde
Un gobelet
Des couverts = couteau, fourchette, (cuillère)
Un récipient style Tupperware (qui ferme bien) pour des salades qui figureront au
casse-croûte.

pour le reste, votre équipement de sortie habituel en stage ou en montagne :

Sac de couchage /et  Sac à viande si vous le souhaitez
affaires de toilette et Serviette (microfibre ou pas)
Lampe
Chapeau ou casquette
Crème et lunettes  solaires

 équipements/vêtements de montagne.

(Nous serons au plus haut vers  2600-2700m d’altitude le mercredi. Pas de difficultés techniques : simplement une traversée d’éboulis vers le Galibier.)

 idéalement prévoir de venir avec un ordinateur portable pour les séances en salle, saisie de données et partage de documents. nous serons amenés à utiliser un tableur (excel ou libre office)

téléphone portable (smartphone) à apporter sur le terrain pour pointage GPS + prise d’images

une loupe de poche pour le terrain peut être utile si certains veulent distinguer quelques espèces de plantes proches. éventuellement une flore mais on a ce qui faut là-haut, carnet de note, de quoi écrire et dessiner …

le diaporama 

Photos : écologie alpine au Lautaret

3/ Caucase:

Le Voyage dans le Grand Caucase 2022 a été annulé

(il sera possible de renouveler son organisation, les détails ayant été programmés sont faciles à reporter)

Calendrier de l’année scolaire 2020-2021

En dépit de la crise sanitaire, il nous a été possible de nous regrouper en respectant les protocoles indispensables. Au-delà des contenus scientifiques et pédagogiques abordés, ces temps forts sur le terrain sont des occasions uniques pour échanger sur nos conditions de travail et les solutions que nous adoptons chacun de notre côté pour pratiquer un enseignement de qualité.
Ces regroupements sont parfois les seuls moments où ces échanges sont possibles, en particulier pour les collègues des petits collèges qui sont parfois seuls dans leur discipline… d’où l’importance de ces actions !

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I/ le mot du président rentrée 2020-2021

Chères et chers collègues adhérents,

 

Je sais combien il est difficile en ce moment d’aborder sereinement les sujets aussi importants que ceux qui concernent l’école, les collèges et les lycées. 

Les difficultés que nous rencontrons quotidiennement ne font qu’aggraver des conditions de travail déjà fortement dégradées année après année par les ministères successifs et les contraintes sanitaires nécessaires à la reprise après Toussaint montrent de façon plus aigüe encore l’inadéquation des moyens matériels et surtout humains face aux objectifs de l’enseignement de notre discipline.

On se retrouve souvent en collège, par exemple, avec des classes de 30 élèves, parfois davantage compte tenu des arrivées en cours d’année, tout cela sans dédoublement ni prise en compte des besoins spécifiques pour les séances de TP… Sans parler de l’ineptie pédagogique que cela implique, comment tenir un quelconque protocole sanitaire dans de telles conditions ?

Je constate aujourd’hui par exemple que certains chefs d’établissement imposent que les élèves d’une classe soient maintenus dans une seule et même salle pour tous les enseignements, alors même que notre ministre évoquait pourtant dans son allocution la possibilité de maintenir des salles spécialisées. Cette façon d’interpréter les consignes en dit long sur la considération de l’importance de notre matière ainsi que de toutes les disciplines scientifiques : Ne nous y trompons pas ! Ce n’est pas par méconnaissance de nos contraintes pédagogiques que de telles dispositions peuvent être envisagées : Les objectifs pédagogiques passent manifestement derrière la nécessité « d’occuper les enfants » (terme utilisé dans les interventions ministérielles télévisées !). D’ailleurs, au cours des conseils d’administration de la majorité des établissements, les discussions mettant réellement en jeu les politiques éducatives et pédagogiques (quand elles existent) ne passent-elles pas après les débats budgétaires, les problèmes de transports scolaires ou de demi-pension ?

L’APBG ne cesse d’alerter et de proposer.

C’est grâce aux nombreuses interventions de nos représentants que les groupes de sixième avaient été maintenus pendant des années jusqu’au moment de la réforme des collèges. Les dernières dispositions ont hélas fait table rase se tous les dispositifs réellement efficaces pour maintenir un enseignement scientifique digne de ce nom en transférant hypocritement la gestion du choix de la répartition de moyens insuffisants aux chefs d’établissement.

A ce jour, nous poursuivons de nombreuses actions car nous ne renoncerons jamais à promouvoir les enseignements scientifiques dans notre pays qui en a tant besoin ! Que ce soit via les médias écrits (voir l’article dans Le Monde) ou les appels aux parlementaires et aux fédérations de parents d’élèves, des propositions de modifications et d’ajustements du programme de l’enseignement scientifique auprès du ministère..

N’oublions pas cependant le que poids de nos interventions se mesure au nombre d’adhérents… ! N’hésitez pas à diffuser tout cela autour de vous !

JM Berthier  – président APBG Grenoble


II/ Journées Nationales 2022 Les 25, 26 et 27 novembre 2022 Université de Paris – 45, rue des Saints-Pères, Paris VIe

III / Sorties et activités:

1/ le 2 Octobre 2021 découverte géologico-oenologique des terroirs de Châteauneuf-Du-pape

LA SORTIE A ETE ANNULEE pour MANQUE d’INSCRIPTIONS

2/ le 13 Octobre 2021
 à 14h00

Nous avions rendez-vous à la Cité Scolaire Internationale de Grenoble

conférence-débat sous la direction scientifique de  François Parcy
« la domestication des plantes »

mécanismes passés et récents à travers quelques exemples utilisables en classe.

Nous disposions d’une grande salle qui a permis d’accueillir tout le monde dans le respect des règles sanitaires 

les inscriptions se faisaient auprès de  audinosapbg@gmail.com


(la CSI est à 5 min à pied de la gare de Grenoble pour ceux qui viennent en train, sinon il y a le tram B – arrêt Cité internationale  juste devant le lycée).
Le mercredi après midi il y aura des places pour se garer libres mais payantes (merci Grenoble !)  dans l’avenue Doyen Louis Weil et peut-être quelques unes dans la rue Félix Esclangon)

coordonnées : 45.19475136585323, 5.71164602797482
carte ici

François Parcy, bien que spécialiste d’EVO-DEVO est passionné des plantes et de l’histoire de la domestication.
Passion qu’il sait transmettre à son public  à travers une foultitude d’anecdotes croustillantes tout en apportant son expertise de généticien .

Vous pouvez toujours écouter François parcy sur les podcasts de France Culture

Comment la nature est-elle entrée dans l’âge de la fleur ? 

et

Pourquoi la Terre s’est-elle offert des fleurs ?

voir aussi :

Les fleurs ne sont pas des potiches

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Un livre de François Parcy :


(source : www.babelio.com)

L’histoire secrète des fleurs: https://www.fnac.com/a13416982/Francois-Parcy-L-histoire-secrete-des-fleurs

Un monde sans fleurs ? Inimaginable. Les plantes à fleur peuplent notre univers,
elles nous nourrissent, nous émerveillent, nous aident à séduire…
Pourtant, elles n’ont pas toujours existé ! Elles sont apparues il y a  » seulement  » 150 millions d’années,
mais elles ont rapidement colonisé la planète. Il en existe aujourd’hui près de 400 000 espèces différentes.
Ce succès évolutif aussi brutal que fulgurant fut qualifié  » d’abominable mystère « 
par Charles Darwin lui-même, le père de la théorie de l’évolution.
L’enquête scientifique dure depuis 200 ans mais la science a récemment accompli des progrès fantastiques.
Le  » mystère de Darwin  » n’est plus aussi abominable : nous savons désormais un peu mieux comment la nature est entrée dans l’âge de la fleur.

Dans un récit vivant et accessible, François Parcy dévoile des créatures bien moins sages qu’il n’y parait :
les fleurs se révèlent intelligentes, manipulatrices et parfois sexuellement débridées !
Un monde étrange et captivant illustré par des dessins naturalistes inédits et par les portraits des chercheurs qui ont accompli les plus grandes avancées.


4/ sédimentation, érosion, traces des dinosaures du trias et découverte du sentier pédagogique de l’Escrinet (Ardèche)


c’était le  26 juin 2021 à 10h00 au village de VESSEAUX


sous la direction de Maryse Aymes, prof relais cité de la préhistoire

et membre du
clapas 07 roches, nature et paysage

au programme :

1ère partie, matin

  • rendez-vous 10h00 à la coopérative de Vesseaux (coordonnées 44.65367664555739, 4.445339630463439)
  •  départ pour 1ere visite les marnes (durée environ 1 heure)
  • 11h00 sur les traces des dinos du Trias (seul site en France pour ce système) C’est le site du sartre (15 minutes de covoiturage)
  •  11h15 à 12h15  sur site 

informations sur le site du sartre
cliquez ICI

pour en savoir plus :

un article de Pierre Thomas sur le site de l’ENS Lyon

le dossier complet (France Bleu)

un descriptif rapide :
infos (Dauphiné Libéré)

repas tiré du sac2ème partie après midi Au col de l’Escrinet

 covoiturage jusqu’à Sarasset

depart à pied pour parcourir une partie du sentier retour jusqu’au col de l’escrinet.
Retour 17h30 environ


Pour ceux qui restaient le weekend, il était possible de prévoir de belles visites complémentaires
telles que celles organisées par notre APBG par le passé :


  (une partie de la collection provenant de Nouvelle-Guinée (Indonésie)
collectée par Anne-Marie et Pierre Pétrequin, préhistoriens chercheurs au CNRS)

Calendrier de l’année scolaire 2019-2020

1/ mini journée le samedi 17 Octobre 2020

Drôme-Ardèche

Erosion, transport et sédimentation en Royans-Vercors

extrait audio (excusez la qualité !)

encadrement scientifique : Camille PEYBERNES

C’était une mini journée le samedi 17 Octobre : le rendez-vous était à l’entrée de PONT-EN-ROYANS

(face au stade de rugby) à 09h00 puis départ vers le site de la grotte de Choranges pour terminer à 16h30 à St Nazaire en Royans


 Cette excursion visait à faire connaître aux professeurs de SVT des sites géologiques de la vallée de la Bourne (Royans-Vercors) permettant d’illustrer les notions du programme concernant l’érosion, le transport des sédiments et leur dépôt, pour les classes du cycle 4 et de seconde. 

grotte
panneaux carrière

Les sites visités permettent aussi d’aborder la gestion des risques naturels et l’utilisation des ressources géologiques (eau, granulat, sable, argile, calcaire) par l’Homme. Un parcours répertoriant ces sites le long de la Bourne a été proposé ainsi que des pistes d’exploitation avec les élèves.

Le but est de fournir une « boîte à outils » grâce à laquelle chaque professeur peut concevoir sa sortie en fonction de ses choix pédagogiques.

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Histoire des glaciers Arve-Mont Blanc

observations et étude de la dynamique climatique

Sortie réalisée en deux déjours qui se sont parfaitement déroulés

voir les photos : J1 – J2 – J3 – J4 – J5
 

image du site http://www.geologie-montblanc.fr/1900….htm

les dates qui étaient arrêtées : deux semaines au choix du

ou

du lundi 24 / 08 / 20 (matin) au vendredi 28 /08 20 août après-midi) (liste des inscrits ici)

    détail des lieux d’hébergement ICI
    pour rassemblement (lieux de rendez-vous)

    C’était un stage de 5 jours construit en collaboration avec Bernard Francou, chercheur Emérite IRD en glaciologie.

    programme :

    Thème jour 1 : la dégradation progressive du climat au cours du Tertiaire & les alternances glaciaire-interglaciaire du Quaternaire
    visites des sites clés de la vallée de l’Arve  

    Thème jour 2 : Climat et tectonique des plaques, des interactions multiples

    visite d’affleurements datant du Permo-Carbonifère.


    Thème jour 3 : Le Climat au cours du Tardiglaciaire (de -20’000 à -10’000 ans)

    visite en randonnée de la Réserve Val Montjoie-Contamine.


    Thème jour 4 : Dynamique du climat de l’an 1000 à nos jours (discussion autour des impacts anthropiques).
    visites des glaciers du massifs du Mont Blanc
    Thème jour 5 : Histoire du glacier du Léman et hydrogéologie de la source d’Evian.

    visite du Quaternaire Lémanique – Secteur de Thonon-Evian

    déplacements en covoiturage